Quelles sont les techniques principales de gravure ?
Merci d'avance.
Gravure
Re: Gravure
Le mot graver vient de l'allemand grabau puis graben.
Les gravures sont aussi anciennes et parfois associées aux peintures rupestres préhistoriques.
Puis la gravure permet la reproduction et la diffusion à partir de l'empreinte. Des étoffes sont imprimées à la planche par les Egyptiens et les Phéniciens. L'invention du papier permet ensuite les estampes dont la plus ancienne conservée est à l'Albertine de Bruxelles.
Les gravures sont aussi anciennes et parfois associées aux peintures rupestres préhistoriques.
Puis la gravure permet la reproduction et la diffusion à partir de l'empreinte. Des étoffes sont imprimées à la planche par les Egyptiens et les Phéniciens. L'invention du papier permet ensuite les estampes dont la plus ancienne conservée est à l'Albertine de Bruxelles.
Re: Gravure
LA GRAVURE OU TAILLE DOUCE creuse un métal qui est doux.
LES OUTILS:
Le burin : petite barre d'acier dont la pointe est taillée en biseau, avec un manche que l'on pousse pour faire un sillon dans le métal (ex : Dürer).
La pointe sèche : une pointe en acier sur un manche dessine dans le cuivre. La pointe relève des petits copeaux.
L'eau-forte : c'est de l'eau à laquelle on ajoute de l'acide. On étale un vernis sur le cuivre et dessine avec une pointe sur le vernis. Puis on plonge la plaque de cuivre dans l'acide qui mord aux endroits dénudés par la pointe (ex : Rembrandt).
L'aquatinte : On pulvérise un grain de résine sur la plaque, le durcit en le chauffant, puis on plonge la plaque dans l'acide qui creuse entre les grains (ex : Goya).
La presse :
La plaque à l'envers et l'impression à l'endroit est composée de deux lourds rouleaux d'acier. Entre les rouleaux passe un plateau d'acier sur lequel on dépose le cuivre et le papier humide, puis des langes en laine pure pour assurer le moelleux de la gravure. On tourne une grande roue qui fait avancer le plateau.
Les autres techniques sont le vernis mou, le pointillé, la manière noire, le sucre, le soufre, le monotype...
La gravure en couleurs demande autant de plaques que de couleurs ou presque. Les plaques sont superposées au tirage. Le dessin doit être fait à l'envers sur la plaque pour revenir à l'endroit sur le papier. Le métal utilisé est généralement le cuivre, mais aussi le zinc et le laiton. Pour rectifier une erreur, on gratte avec un grattoir et on repolit avec un brunissoir.
LES OUTILS:
Le burin : petite barre d'acier dont la pointe est taillée en biseau, avec un manche que l'on pousse pour faire un sillon dans le métal (ex : Dürer).
La pointe sèche : une pointe en acier sur un manche dessine dans le cuivre. La pointe relève des petits copeaux.
L'eau-forte : c'est de l'eau à laquelle on ajoute de l'acide. On étale un vernis sur le cuivre et dessine avec une pointe sur le vernis. Puis on plonge la plaque de cuivre dans l'acide qui mord aux endroits dénudés par la pointe (ex : Rembrandt).
L'aquatinte : On pulvérise un grain de résine sur la plaque, le durcit en le chauffant, puis on plonge la plaque dans l'acide qui creuse entre les grains (ex : Goya).
La presse :
La plaque à l'envers et l'impression à l'endroit est composée de deux lourds rouleaux d'acier. Entre les rouleaux passe un plateau d'acier sur lequel on dépose le cuivre et le papier humide, puis des langes en laine pure pour assurer le moelleux de la gravure. On tourne une grande roue qui fait avancer le plateau.
Les autres techniques sont le vernis mou, le pointillé, la manière noire, le sucre, le soufre, le monotype...
La gravure en couleurs demande autant de plaques que de couleurs ou presque. Les plaques sont superposées au tirage. Le dessin doit être fait à l'envers sur la plaque pour revenir à l'endroit sur le papier. Le métal utilisé est généralement le cuivre, mais aussi le zinc et le laiton. Pour rectifier une erreur, on gratte avec un grattoir et on repolit avec un brunissoir.